Sous le Plancher – L’oeil d’Olivier



« Sous le plancher, l’ennui comme source de l’imaginaire
Il fallait oser. Elle l’a fait, et bien : un spectacle sur l’ennui qui, comme lui, au lieu de nous ennuyer, ouvre la porte de notre imaginaire et nous embarque. A l’image de cet enfant qui joue, se construit son monde où tout est finalement corréle, nous oublions que nous sommes au théâtre, oublions nos voisins de siège et tout ce qu’on a prévu de faire sur le reste de notre journée. Emerveillés par les ombres, les lumières, les courants d’air, guidés par un univers sonore déjanté, délicat et pertinent créé en direct, dans la salle, enfants à partir de trois ans et adultes ne bronchent plus : ils ne sont plus qu’yeux ébahis… »

Sous le Plancher – Télérama



« Une émission de radio sur l’ennui fait justement écho à son état d’esprit. L’écho des mots s’éloigne, faisant place à une apparition virevoltante, vive et gaie, incarnation peut-être de son imagination, qui l’emmène de découvertes en émerveillements… Sur scène, les trois interprètes (la créations musicale et sonore s’effectue à vue et en direct) participent à l’éclosion d’un monde imaginaire : surgissement d’objets sortis de diverses trappes au sol, manipulation en mouvement et techniques simples (lampes de poche, miroirs, bruitages…) pour laisser naître des images qui constituent de vraies surprises visuelles et sonores. Le merveilleux peut advenir à partir d’un rien. Un spectacle pour réenchanter l’ennui et redonner à la rêverie toute sa force créatrice. »

Carte blanche – Val de Marne



« La compagnie Le Bel après-minuit que je dirige depuis sa création, en 2002, s’adresse d’abord au jeune public même si j’essaye toujours d’intéresser les plus grands. J’aime rassembler enfants et adultes le temps d’un spectacle. Quand je sens les enfants à l’écoute et que les adultes ne se sont pas en reste, j’ai gagné mon pari. Créer ces spectacles me permet de garder un lien précieux et joyeux avec l’enfance. Cela me motive pour cultiver l’émerveillement dans un monde qui ne se porte pas toujours très bien. »

L’Ombre de Tom – Télérama



« Une adaptation d’un album jeunesse de Zoé Galeron, qui exprime avec délicatesse et humour les troubles d’un enfant, à l’image du décor qui se crée au fur et à mesure des épisodes, notamment lors du voyage de l’ombre (à dos d’éléphant, en pleine mer, dans les fonds marins et même dans l’espace). Sur
scène, un manipulateur installe, éclaire les objets, transforme la structure modulable pour les projections d’images et d’ombres, tandis qu’un comédien interprète sans mot l’enfant. De la belle ouvrage qui ravit. »

Les Vilains Petits – Panorama


« Les Vilains Petits puise sa sève à travers la plume alerte et poétique de Catherine Verlaguet dont l’ouvrage éponyme vient de paraître. Une pièce de proximité, pluridisciplinaire et contemporaine destinée à un public familial dont on ne sort pas indemne »

« Nous avons recréé de façon réaliste l’univers de l’école, indique Bénédicte Guichardon, metteur en scène. Ce lieu d’acquisition des connaissances représente également le théâtre d’autres enjeux. Les enfants y apprennent à grandir et à s’affirmer. Et c’est en surmontant ces épreuves initiatiques qu’ils brisent leur cocon d’innocence… »

Timide – Télérama sortir


« Complices au théâtre, Catherine Verlaguet à l’écriture et Bénédicte Guichardon à la mise en scène créent des spectacles, conçus pour les petits, qui explorent des thèmes contemporains et familiers. Cette dernière, seule en scène, raconte et manipule divers objets »

Timide – Pariscope

 

« Voilà un conte initiatique, poétique et délicat écrit par Catherine Verlaguet, mis en scène et interprété par la délicieuse Bénédicte Guichardon. Cette dernière mène le jeu et la manipulation d’objets avec aisance, aidée de sa grande malle à tiroirs et d’autres procédés d’optiques. »