« Sous le plancher, l’ennui comme source de l’imaginaire
Il fallait oser. Elle l’a fait, et bien : un spectacle sur l’ennui qui, comme lui, au lieu de nous ennuyer, ouvre la porte de notre imaginaire et nous embarque. A l’image de cet enfant qui joue, se construit son monde où tout est finalement corréle, nous oublions que nous sommes au théâtre, oublions nos voisins de siège et tout ce qu’on a prévu de faire sur le reste de notre journée. Emerveillés par les ombres, les lumières, les courants d’air, guidés par un univers sonore déjanté, délicat et pertinent créé en direct, dans la salle, enfants à partir de trois ans et adultes ne bronchent plus : ils ne sont plus qu’yeux ébahis… »
Il fallait oser. Elle l’a fait, et bien : un spectacle sur l’ennui qui, comme lui, au lieu de nous ennuyer, ouvre la porte de notre imaginaire et nous embarque. A l’image de cet enfant qui joue, se construit son monde où tout est finalement corréle, nous oublions que nous sommes au théâtre, oublions nos voisins de siège et tout ce qu’on a prévu de faire sur le reste de notre journée. Emerveillés par les ombres, les lumières, les courants d’air, guidés par un univers sonore déjanté, délicat et pertinent créé en direct, dans la salle, enfants à partir de trois ans et adultes ne bronchent plus : ils ne sont plus qu’yeux ébahis… »